Face au cyclone qui frappe Mayotte, l’urgence est humaine, pas administrative.
Le cyclone CHIDO aurait causé un bilan tragique, avec de nombreux morts et blessés (les chiffres officiels sont encore attendus).
Plus des trois quarts de la population de Mayotte ont été touchés, et un immense travail de reconstruction sera nécessaire pour redonner vie à l’île.
Une crise sanitaire s’ajoute à cette tragédie : des milliers de personnes manquent d’eau, de nourriture et de soins essentiels.
Face à ce désastre, l’urgence est humaine, pas administrative. Chaque vie compte, et chaque geste de solidarité doit primer sur les divisions. La dignité humaine n’a pas de frontière.
Mayotte est un département français, et son peuple a droit à des conditions de vie dignes, conformes aux valeurs républicaines. Les bidonvilles, symboles d’inégalités criantes, ne doivent plus être une réalité : ni à Mayotte, ni dans aucun territoire de la République.
Soutenons Mayotte avec unité et bienveillance. Ensemble, œuvrons pour reconstruire un avenir plus sûr, plus juste, et respectueux des droits de chacun.