Pitch du film Lost Water :

Dévastée par la pollution et un climat aride, la Terre n’a plus accès à l’eau potable à l’exception d’une Cité régie par un Gouverneur autoritaire. Un citadin désabusé décide de trouver la dernière nappe phréatique, unique source qui alimente cette forteresse. Lorsqu’il y parvient, ce qu’il va découvrir dépasse l’entendement. Que ferions-nous dans une telle situation et quelles pourraient être nos limites pour survivre ?

Il a choisit ce titre Lost Water, car simple, efficace et compréhensible à tous.
Avec ce titre, cela dresse le décor et se passe de commentaires… Il est un pitch à lui tout seul !

Le choix des acteurs par le réalisateur :

Les acteurs ont une importance capitale car ils portent la narration. Ils doivent être « sympathiques » même lorsqu’ils sont du mauvais côté. Avant toutes choses, je les ai choisi sur le talent et l’énergie ! Et mes comédiens n’en manquent pas 🙂 La diction aussi est très importante, j’ai gardé cela du théâtre. Quant à la mixité, bien que pas totalement volontaire, elle traduit d’une société qui se veut hétérogène et qui sera sans doute le reflet des civilisations à venir.

Une anecdote lors du tournage  que Michael Schmit nous a partagé

Nous souhaitions absolument tourner en extérieur car nous voulions un film artisanal faisant appel à bon nombre de compétences, costumes, décors, accessoires… Et la pluie s’est invitée lors du tournage, ce qui fut un réel défi pour un film dont le titre est Lost Water 🙂 Mais la magie du cinéma a opéré et grâce à une équipe au top, cela ne se voit pas à l’image.

Pour rendre son film plus réaliste au sujet de l’écologie, il s’entoure actuellement de spécialistes pour parfaire l’écriture du long métrage et apporter de la véracité aux propos.

Le film de Michael Schmit, bien que léger et divertissant, portera à réflexion sur des ressources qui nous semblent acquises mais qui sont pourtant si fragiles.

Quel serait le conseil que vous pourriez apporter à un jeune réalisateur qui regarde la chaîne Coworking Channel ?

“Modestement, je dirai le travail. Ce métier demande plusieurs compétences et il faut « mouiller la chemise » pour les acquérir. Sans oublier la passion qui doit être entretenue car elle se voit à l’image, sans aucun doute !”